Schéma des Concepts auto-référants systémiques régissant le CDF




Réflexion croisée
Bien que chaque concept représente une entité autonome auto référente, tous les concepts sont complémentaires.  
Le poète-pluriel « joue » de l’ensemble de ses concepts comme s’il dirigeait un orchestre sauvage dont il serait le luthier et l’interprète. Cela sous-entend qu’il aurait « imaginé et réalisé » les instruments d’un méta-orchestre dont il serait « les musiciens ». La dimension chaman du poète-pluriel devient ici fondamentale, car pour réussir, il devra multiplier son je(eu(x) afin d’en faire un  "il(s)" qui ne soit jamais on (Heidegger, 1927).[1]
Les concepts et les matériaux utilisés, le son acoustique spatialisé, l’orchestration en temps réel et la musique à regarder qui en découlent ainsi que son prolongement vidéo, ouvrent un passage vers une poétique mémorielle, relevant d’une archéologie du sensible. 



[1] Celui de l’idée reçue, banalité collective rejoignant la dictature du on heideggérienne. Être et temps. (1927)  

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